Dans une torsion chance du destin, Sato, un descendant raide de pêcheurs dans sa ville natale côtière de Minamisanriku, a pris congé du travail pour voir son troisième enfant, Haruse, né dans un hôpital dans une ville portuaire à proximité.
Quelques heures plus tard, la seule chose à gauche de la maison de retraite où il aurait normalement été un squelette de piliers d'acier.
Presque tous les 70 résidents ont été emportées par le tsunami déclenché par le tremblement de terre de magnitude 9.0 au large des côtes qui a dévasté Minamisanriku, l'une des villes les plus touchées. Sato et ses collègues de travail mis à la tâche de chercher pour eux.
En raison de la naissance de Haruse, Kazuko a également pris une journée de congé de son travail à l'hôpital de ville Minamisanriku. Un bateau encore perchée sur le bâtiment de 5 étages, un rappel effrayant de la hauteur des murs d'eau qui a dévasté la ville.
Haruse est né autour de 4 heures, un mois prématurément, pesant 2,6 kg (5 lb, 11 onces) et nécessitant des soins intensifs en raison de la température corporelle. Mais alors que l'hôpital dans la ville voisine de Ishinomaki a été épargné le choc de la catastrophe, les patients de toute la région ont afflué, l'effort des installations.
"C'est pourquoi, on m'a dit de le quitter et a dû partir trois jours après sa naissance», a déclaré Hiromi, 34, épouse de Sato. La plupart des femmes japonaises rester à l'hôpital pendant une semaine après l'accouchement.
Un an plus tard, les Satos, qui ont tous survécu depuis leur maison a été construite sur une colline, sont la planification d'un anniversaire tranquille avec une certaine gâteau et crème glacée pour l'enfant qui, de son grand-mère insiste pour Kazuko, «est né pour nous sauver."
Sources:
Reuters
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